Me gustaria saber cuantos tipos de ritos liturgicos ha habido en el tiempo, es decir,que habia antes de este ritual (novus ordo) y que habia antes de este mismo, asi como detalles hacerca de sus formas, (como celebrara el sacerdote, idioma, etc)
Gracias de antemano.
De este mismo debate me gustaria pedir OPINION de los Catolicos acerca del tema Lefevbrista. (eduardo, abel, kanbei, maite, marycruz, etc)
Lo digo por que mi mejor amigo tiene una relacion amorosa con una persona que es Lefevbrista, he hicieron un trato por descubrir cada uno lo que dice la Fe del otro a ver si acaso uno de los dos se convierte, a mi me pidio ayuda, pero no se tanto acerca de algunas cuestiones, por lo que me gustaria saber al menos en dos aspectos que no se responderle con certeza, lo de la espalda al sagrario, y por lo tanto dar de frente a la congregacion... mas que respuestas acerca de concilios y demas, me gustaria su opinion y algun que otro elemento teologico.
Gracias
Intento responderte, consultando un documento encontrado, ya que de memoria seguro que me dejaría algunos. Pongo el documento tal cual lo he encontrado, en francés, luego, cuando tenga unmomento te pongo más resumido en español ¿vale?
Rites et liturgies de l'OrientLes principaux rites orientaux sont les rites byzantin, arménien, syrien, maronite, chaldéen et copte.
1. Le rite byzantin, le plus important après le rite romain, fut organisé à Constantinople, l'ancienne Byzance, d'où son nom ; de la nouvelle capitale des Césars, il se répandit dans presque tout l'empire d'Orient. On l'appelle encore rite grec parce que, à l'origine, il n'était célébré qu'en grec et par des Grecs.
Le rite byzantin est pratiqué aussi bien par des catholiques ; Ruthènes-unis, Grecs-unis, que par des dissidents appelés communément Orthodoxes. Il emploie trois Liturgies ou trois Messes différentes : celles de saint Basile, de saint Jean Chrysostome et des Présanctifiés. La liturgie de saint Basile le Grand fut adoptée autrefois par plusieurs Églises d'Orient qui l'ont partiellement conservée. Elle est en usage chez les Coptes presque toute l'année, et dans le rite byzantin dix fois par an : les veilles de Noël et de l'Épiphanie, les cinq premiers dimanches de Carême, les Jeudi et Samedi Saints et le jour de la fête du saint Docteur qui la rédigea.
La liturgie de saint Jean Chrysostome ou de Constantinople, regardée comme la tradition apostolique, fut revue par le savant et Docteur dont elle porte le nom. Elle est suivie la plus grande partie de l'année.
La liturgie des Présanctifiés, analogue à notre Messe des Présanctifiés ou du Vendredi Saint, se célèbre pendant tout le Carême, excepté les samedis et les dimanches. Il n'y a pas de consécration ; la communion se fait avec les pains consacrés le dimanche précèdent, d'où son nom des Présanctifiés, c'est-à-dire des pains sanctifiés ou consacrés à l'avance.
Les langues liturgiques en usage dans le rite byzantin sont : le grec ancien chez les Grecs de Turquie et de Grèce ; le grec et l'arabe anciens chez les Melkitesi catholiques et orthodoxes de Syrie, de Palestine et d'Égypte ; le slavon ou vieux slave chez les Serbes, les Russes et les Bulgares ; le roumain chez les Roumains ; le géorgien chez les Géorgiens ; le grec et l' albanais chez les Albanais.
2. Le rite arménien tient à la fois des rites byzantin et syrien, et, de plus, il a subi l'influence de Rome. Il est pratiqué par les Arméniens-unis et les Arméniens dissidents ou Grégoriens , ainsi appelés de leur principal apôtre du IVe siècle qui la rédigea dans la langue du pays ; c'est en ancien arménien qu'elle est encore célébrée.
3. Le rite syrien est celui des Syriens-unis et des Syriens dissidents ou Jacobites ainsi nommés de leur fondateur le monophysite Jacques Baradaï qui vivait au VIe siècle. Il fait usage de l'arabe ancien, mais surtout du syrien ou araméen occidental que parlaient les Hébreux au temps de Notre-Seigneur.
Trois liturgies sont en usage dans le rite syrien : celles de saint Jacques le Mineur, de saint Jean Chrysostome et de saint Xyste.
La liturgie de saint Jacques le Mineur, premier évêque de Jérusalem, serait la plus ancienne et aurait servi à former toutes les autres liturgies de l'Orient. Elle est employée les dimanches et les fêtes ; en semaine, elle est remplacée, durant l'été, par la liturgie de saint Jean Chrysostome, et en hiver, par celle de saint Xyste.
4. Le rite maronite est en usage chez les Maronites du Liban, ainsi nommés de leur patriarche du Ve siècle Jean Maron. Ce rite diffère peu de celui des Syriens dont il emploie les langues liturgiques : le syriaque et l'arabe, et la liturgie principale celle de saint Jacques le Mineur ; mais il est un peu romanisé.
5. Le rite chaldéen est employé : 1° en chaldéen ou araméen oriental et en arabe , dans la Mésopotamie (l'ancienne Chaldée, d'où le nom du rite et de la langue), et en Perse, par les Chaldéens catholiques et les Chaldéens dissidents ou Nestoriens ; 2° en syriaque , au Malabar, dans l'Inde, par les Syro-Malabars catholiques et monophysites. Ce rite fait usage de la liturgie des saints Apôtres de la Chaldée Addaï et Mari.
6. Le rite copte (mot grec qui signifie égyptien) est en usage en Égypte avec les langues copte (ancien égyptien) et arabe , et en Abyssinie avec l' éthiopien ancien. Il emploie trois liturgies : celles de saint Marc, de saint Grégoire de Nazianze et de saint Basile.
La liturgie de saint Marc l'Évangéliste, apôtre de l'Égypte, fut écrite par saint Cyrille d'Alexandrie, au Ve siècle ; elle n'est employée que le vendredi avant le dimanche des Rameaux. La liturgie de saint Grégoire sert à Noël, à l'Épiphanie et à Pâques ; celle de saint Basile, le reste de l'année.
Toutes ces liturgies orientales se ressemblent dans le fond et ne diffèrent que dans la forme, ce qui est une preuve de leur commune origine et de leur antiquité. En les autorisant, l'Église romaine a voulu honorer ces anciens rites et montrer aux schismatiques d'Orient qu'ils peuvent venir à elle sans crainte de perdre leurs antiques traditions.
Rites et liturgies de l'Occident
1.
Les principaux rites occidentaux sont les rites romain, ambrosien, mozarabe, bragacien et gallican. Ces rites ont une liturgie propre, mais ils sont tous célébrés en latin.
* La liturgie romaineii remonte à saint Pierre par ses origines. Ses plus anciennes rédactions se trouvent dans trois Sacramentaires qui , sous leur forme actuelle, remontent respectivement aux VIe, VIIe et VIIIe siècles. C'est la liturgie de l'Occident et de tous les pays de missions.
* La liturgie ambrosienne, attribuée à saint Ambroise, est suivie à Milan et dans près d'un millier de paroisses des environs. Elle a beaucoup de ressemblance avec celle de Rome : le canon de la Messe est le même.
* La liturgie mozarabe ou gothiqueiii fut rédigée par saint Léandre et complétée par saint Isidor, son frère, évêque de Séville, aux VIe et VIIe siècles.
Elle fut remplacée en Espagne, vers la fin du XIe siècle, par la liturgie romaine, et elle n'est observée aujourd'hui que dans une chapelle de la grande église de Tolède et dans six autres paroisses. Ce fut le cardinal Ximénès qui obtint cette concession du pape Jules II, en 1500.
* Le rite bragacien est en usage dans l'archidiocèse de Braga, en Portugal. C'est un mélange de mozarabe et de romain. Il remonte au VIe siècle et a été restauré sous Benoît XV (1919).
* La liturgie gallicane est ainsi nommée parce qu'elle fut en usage dans les Gaules, jusqu'au milieu du VIIIe siècle. Son origine, orientale ou romaine, est fort discutée. Plusieurs la croient d'origine orientale parce que les premiers Apôtres des Gaules venaient d'Orient.
Au VIIIe siècle, Pépin et Charlemagne, par égard pour le Saint-Siège, introduisirent la liturgie romaine dans leurs États. Cette liturgie fut plus ou moins mélangée de rites nouveaux qui donnèrent lieu à des liturgies particulières. En 1568, le pape saint Pie V prescrivit le retour à l'unité romaine et ne laissa subsister que les liturgies qui comptaient au moins deux cents ans d'existence.
A la fin du XVIIe siècle, et sous l'influence janséniste, commencèrent à paraître de nouvelles liturgies gallicanes dans un grand nombre de diocèses de Franceiv. Sous prétexte de rehausser la majesté de Dieu, les nouvelles liturgies amoindrissaient le culte de la très sainte Vierge et des saints ; et, pour diminuer l'influence des Souverains Pontifes, elles supprimaient ce qui pouvait rehausser le Siège Apostolique. C'est ainsi que les fêtes de l'Immaculée Conception et de saint Pierre descendirent au rang de solennel-mineur et perdirent leur octave, et que le répons : Tu es pastor ovium fut supprimé. Les nouveaux Bréviaires avaient une réelle valeur littéraire, mais ils manquaient de piété, affectaient l'oubli des règles romaines, et leurs hymnes, dont les auteurs étaient notoirement hérétiques, renfermaient des réminiscences mythologiques qui n'auraient pas dû s'y rencontreriv.
C'est seulement depuis le pontificat de Pie IX que cette fâcheuse diversité a disparu et que s'est effectué le retour à la liturgie romaine. Il ne subsiste guère en France que la liturgie de Lyon, partiellement maintenue par indult.
2. Aujourd'hui la liturgie romaine doit être suivie en Occident, à moins d'une concession spéciale du Souverain Pontife.
C'est en vertu de cette concession que plusieurs ordres religieux ont conservé des liturgies particulières, qui avaient au moins deux cents ans d'existence à l'époque où saint Pie V publia sa bulle. De même, les prêtres des rites orientaux de passage ou en résidence en Occident peuvent et doivent célébrer la Messe selon leurs rites particuliersvi.
I. Les Melkites, dont le nom signifie impériaux, furent ainsi nommés par les Syriens monophysites, parce qu'ils suivaient la doctrine définie par le concile de Chalcédoine que l'empereur Marcien défendait énergiquement.
II. La liturgie romaine ancienne doit être distinguée de l'actuelle un peu mêlée, après Charlemagne, avec la liturgie gallicane.
III. Liturgie mozarabe. — On l'appelait gothique , parce qu'elle fut introduite en Espagne sous le rège des Goths ; mozarabe , parce qu'après l'invasion des Arabes, au VIII e siècle, les chrétiens mêlés aux Arabes étaient appelés mixti arabibus, myxtarabes, et, par corruption, mozarabes .
IV. Seuls, les douze diocèses suivants avaient toujours conservé la liturgie romaine : Aix, Ajaccio, Angoulême, Avignon, Bordeaux, Cambrai, Marseille, Montpellier, Perpignan, Rodez, Saint-Flour, Strasbourg.
V. D'après A. Lerosey, Histoire et Symbolisme de la Liturgie .
vi. Les fidèles satisfont au précepte d'entendre la messe les jours de dimanche et de fête d'obligation, quel que soit le rite catholique dans lequel ils l'entendent. De même, ils peuvent communier dans n'importe quel rite et se confesser à un prêtre catholique d'un rite quelconque.
Los principales ritos orientales son el rito bizantino, el armenio, el sirio, el maronita, el caldeo y el copto.
1. El rito bizantino, el más importante después del rito romano, extendido por todo el antiguo imperio bizantino con capital en Constantinopla. Originariamente se celebraba solo en griego.
El rito bizantino es usado igualmente por los católicos orientales y por otras Iglesias orientales separadas de la Iglesia greco-ortodoxa. Tiene tres Liturgias diferentes:la de San Basilio, la de San Juan Crisostomo y la de los Presantificados.
Las lenguas litúrgicas de estos ritos son: griego antiguo usado por los griegos de Grecia y Turquía; griego y arabe antiguos por la Iglesia Melkita católica y la ortodoxa de Siria, Palestina y Egipto.
La lengua eslava o eslavo antiguo es usada por la Iglesia ortodoxa serbia, la rusa y la búlgara.
El rumano es usado por la Iglesia rumana, el georgiano por la Iglesia de Georgia y el grego con el albanés es usado por la Iglesia de Albania.
2. El rito armenio está compuesto a partir del rito bizantino y el sirio, con influencias del rito romano. Es usado tanto por la Iglesia armenia católica como por Iglesia armenia independiente, que toma el nombre de su compositor, patriarca armenio del siglo IV. Es celebrada en lengua armenia antigua.
3. El rito sirio es usado por la Iglesia de Siria católica; y por la Iglesia siria monofisita, independiente a partir del siglo VI. Usa el árabe antiguo pero principalmente el arameo occidental, la lengua hablada por Jesús. Tienen tres liturgias diferentes: Liturgia de Santiago el menor, la de San Juan Crisostomo y la de San Xysto (?). Probablemente la liturgia de Santiago el menor proviene de la antigua comunidad de jerusalén y es considerada la más antigua, de la que se habrían desarrollado todas las otras Liturgias orientales.
4. El rito maronita es usado por la Iglesia del Líbano, que tiene su origen en su Patriarca del siglo V, San Juan Maron. Es ligeramente diferente a la Liturgia siria, aunque usa sus lenguas litúrgicas: el arameo occidental y el árabe. Su Liturgia principal es la de Santiago el Menor, aunque un poco romanizada.
5. El rito caldeo es usado: 1 - En lengua aramea oriental, llamada también lengua caldea y en lengua árabe, en Mesopotamia (Irak, antigua Caldea) y en Persia, por la Iglesia caldea católica y la Iglesia caldea independiente nestoriana. 2 - en siríaco, en la región Malabar de la India, por la Iglesia siro-malabar católica y la Iglesia independiente monofisita. Este rito usa la Liturgia de los apóstoles de Caldea: los santos Addai y Mari.
6. El rito copto (es decir, egipcio) se usa en Egipto, en la antigua lengua copta y en árabe, Mientras que en Abisinia (Etiopia) se celebra en lengua etíope antigua. Este rito consta de tres Liturgias: la de San Marcos (según la tradición San Marcos evangelizó en Alejandría fundando la Iglesia copta), compuersta por San Cirilo de Alejandría (s.V), la liturgia de San Gregorio nacianceno y la de San Basilio.
Todas las litrugias orientales son profundamente parecidas en el fondo y difieren solo en su forma, lo que es prueba de un origen común y de una gran antigüedad. La Iglesia católica romana autoriza todos estos ritos que nos merecen el mayor respeto. Esto prueba que la variedad litúrgica y linguística de estas santas tradiciones, NO SON UN PROBLEMA para la Unidad de la Iglesia, para la unidad de todas las Iglesias.
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1. Los principales ritos occidentales son el romano, el ambrosiano, el mozárabe, el bragano y el galicano. Topdos ellos tienen una liturgia propia, aunque todos ellos usan la lengua latina.
* la liturgia romana remonta al origen de la Iglesia de Roma. Los documentos más antiguos que nos quedan de ella son tres sacramentales que remontan respectivamente a los siglos VI, VII y VIII. Es la Liturgia de la Iglesia en Occidente y de todos los países evangelizados por ella.
* La liturgia ambrosiana, atribuida a San Ambrosio de Milan, es seguida en Milán y unas mil parroquias adyacentes. Se arece mucho a la romana y el Canon de la Eucaristia es el mismo.
* La liturgia mozárabe o hispano-visigótica, tal como la tenemos actualmente, se considera compuesta por San Leandro y completada por San Isidoro, su hermano, (s. VI-VII) Se sigue en Toledo y algunos otros lugares de otras diócesis españolas.
hacia finales del s. XI, esta liturgia, practicada en toda España, fue substituida por la romana. En el siglo XV, en la unificación española El Cartdenal Jimenez de Cisneros (1500) obtuvo la concesión del Papa Julio II para poderla seguir para las comunidades de tradición mozárabe que aun existían. Es seguida en la Catedral de Toledo y en otras seis parroquias, aunque actualmente tambión otros Obispos permiten su celebración en algún santuario de sus diocesis, como Madrid y Asturias.
* El rito bragano, está en uso en la diócesis de Braga, en Portugal. Es una mezcla del rito mozárabe ydel romano. Remonta su origen al siglo VI y fue restaurada su celebración por Benedicto XV en 1919.
* El rito galicano y su liturgia fue usado en las Galias (Francia) hasta mediados del siglo VIII. Su origen (oriental o romano) está en discusión. Su origen oriental lo fundamentan en que las Galias fueron evangelizadas por apóstoles venidos de Oriente.
En el s. VIII Los reyes Pepino y Carlomagno, para lograr la unificación del "Nuevo imperio romano" introdujeron la liturgia romana en sus dominios. Esta reforma carolingia dio lugar a variantes liturgicas en sus tierras, por lo que el Papa Pio V prescribió la unificació en la sola liturgia romana, dejando subsistir tan solo las liturgias de mayor antigüedad.
A finales del siglo XVII, bajo la influencia jansenista, aparecieron un buen número de liturgias galicanas en Francia. Sus deseos de independencia respecto a Roma, quedaban marcados suprimiendo todo cuanto pudiera realzar la misión de la Santa Sede. Asímismo redujeron la importancia de la Virgen María y los santos en las celebraciones litúrgicas. En resumen fueron unas "liturgias" faltas de la piedad tradicional, con himnos de contenido claramente herético y llenos de reminiscencias mitológicas.
Fue a partir del pontificado de Pio IX que pudo finalmente eliminarse toda esta ecléctica diversidad y se retornó a la liturgia romana. Así solo subsiste en Francia la liturgia de Lyon, parcialmente mantenido por permiso especial.
2 - En la actualidad la ligurgia romana está prescria en Occidente, excepto en los casos especiales permitidos por la Santa Sede. A favor de esta misma concesión, algunas órdenes religiosas conservan sus celebraciones litúrgicas particulares, por haber sido permitidas por la bula de San Pio V, al tener más de doscientos años de antigüedad en su tiempo.
Igualmente los presbíteros de las Iglesias orientales de paso o bien residentes en Occidente, tienen el permiso y el deber de celebrar la liturgia según su propio rito particular.
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Algunas aclaraciones:
Los melkitas (imperiales) fueron llamados así por los sirios monofisitas, ya que ellos fueron fieles a la doctrina definida en el Concilio de Calcedonia, defendida con energía por el emperador Marcion.
La liturgia actual debe distinguirse de la romana antigua, ya que la actual quedó mezclada despues de la reforma de Carlomagno. (En este sentido la reforma de Paulo VI fue en el sentido de recuperar en lo posible las tradiciones litúrgicas primeras y limpiar los añadidos innecesarios de la vigente antes de esta reforma)
La liturgia hispano visigótica de España fue llamada mozárabe, debido a que fue fielmente seguida por las iglesias cristianas sometidas al dominio árabe de la peninsula, para distinguirlos de los que siguieron la reforma liturgica carolingia.
Los fieles satisfacen el precepto de la misa dominical o de días festivos, sea cual sea el rito católico en que celebren la Eucaristía. Igualmente pueden celebrar el sacramento del Perdón con cualquier sacerdote católico de cualquier rito que sea.